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Sujet: CONTEXTE ♦ mise en situation Lun 13 Déc - 16:17
Citation :
BY TUMBLR.
BETWEEN TWO LUNGS.
Il y avait le sourire des enfants qui sur le bout de leurs lèvres innocentes vous montrent le chemin de l’ivresse humaine, celle que beaucoup d’entre nous laissons fuir, au détriment d’une réalité trop dure, trop absurde. Il y avait le rire des gamins qui de leurs yeux éblouit vous dépeignent d’une manière clair et limpide que le ciel azuréen ne sera pas toujours aussi clément qu’il le demeure aujourd’hui. Il y a les larmes des adolescents qui vous prouvent que tout n’est pas si simple et que l’existence est une épreuve existentielle. Et puis il y a la solitude du jeune adulte près à rentrer dans ce monde réaliste et compliqué à souhait. On se questionne, on ne cesse de prendre un chemin et puis un autre, le temps des décisions semble lourd, sombre, inconnu. On se cherche, on désire se distinguer, on veut le tout pour n’avoir rien, prêcher le faux pour savoir le vrai, apprendre à vouloir grandir seul, découvrir le monde à sa propre façon, concevoir notre avenir en solitaire sans aucune aide parentale. Vous apprenez à vos dépends que rien n’est facile d’accès, que parfois la route est longue et semée d’embuches. Les amis ne sont pas toujours ce qu’ils devraient être : présent et compréhensible, la confiance s’effrite alors pour devenir méfiance et doute. Le doute, les angoisses, ces mots s’accordent comme deux personnes s’assemblent, voilà où nous en sommes tous. Votre entourage s’interroge sur votre état, vos habitudes. Vous sentez que tout va mal, que tout ne dure qu’un temps telle une valse à trois temps. On les guide alors vers une réponse méliorative, en leur énonçant « je vais bien, ne t’en fais pas. ».
Citation :
« « Je veillerai toujours sur toi, comme ton ombre te suit … » Il avait glissé cette parole comme un serment, un dire de protection semblable à une promesse donnée, à un accord de combativité entre nous. Ma joue collée à la vitre glaciale, je me permets de toiser d’une œillade furtive la route qui me mène au lointain de mon passé. A défaut de vouloir poursuivre une vie sans lui, j’ai du me résoudre à devoir prendre les devants et souffler pour revivre. Décision difficile, mais avons-nous le choix ? J’avais deux options celui de fuir la réalité à en devenir complètement folle, ou bien l’option de me laisser courir à ma perte. Je ne m’en sentais guère capable, et puis les larmes de sa disparition soudaine continueraient toujours par couler comme un sablier comptant le temps qui s’écoule. Ma volonté s’évapore, je repousse l’avenir mais il est déjà là devant moi près à frapper. Il y a le sourire des enfants, il y a le rire des gamins, il y a les larmes des adolescents, et il y a la solitude du jeune adulte. (…) puis il y a moi pour conduire ma propre existence. En vérité, il n’y a que nous tout simplement. »
REDIGE PAR BLUE BIRD.
CONTEXTE ♦ mise en situation
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